L'arrêté du 23 janvier 1989 relatif au programme national de formation à la conduite est
abrogé.
Exit le PNF, que nous connaissons depuis 1989. Le REMC devient le référentiel pour la réalisation des programmes et des cours liés à l’éducation et la sécurité routières.
abrogé.
Exit le PNF, que nous connaissons depuis 1989. Le REMC devient le référentiel pour la réalisation des programmes et des cours liés à l’éducation et la sécurité routières.
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compétences :
• Assumer personnellement ses
responsabilités citoyennes, juridiques et sociales
• Utiliser un véhicule à moteur
rationnellement et en sécurité
• Préparer ses trajets et conduire le
véhicule de façon autonome dans les situations de circulation simples ou
complexes
• Prendre en compte les facteurs
entraînant une dégradation du système homme-véhicule-environnement, prendre les
décisions qui permettent d’y faire face, mettre en oeuvre les mesures
préventives.
Chacune
de ces compétences apporte des "sous-compétences" ; Ce ne sont
pas des "objectifs" de formation, même si la pédagogie à l’aide des
objectifs restera complémentaire de l’enseignement à visé de compétences.
La matrice
GDE est prise en compte pour l’acquisition de ces compétences.
Nous
reviendrons sur le REMC afin d’en détailler les éléments.
Nous y voila, depuis le 1er juillet 2014 le REMC est en vigueur.
Pour faire simple le REMC dans son ensemble ne constitue pas le programme de la formation sinon il faudrait une vie de conducteur.
L'idée majeure de la reforme est une refonte de la formation en approchant davantage l'aspect comportemental.
― l'accidentalité des jeunes de 14 à 25 ans.
― l'accidentalité liée à l'usage de deux-roues motorisés.
― la sécurité des usagers vulnérables.
― la lutte contre l'usage de substances psycho-actives associé à la mobilité.
― la poursuite de la baisse des vitesses moyennes enregistrées.
― la mobilité durable et citoyenne.
― le risque routier professionnel.
― le vieillissement de la population.
Nous y voila, depuis le 1er juillet 2014 le REMC est en vigueur.
Pour faire simple le REMC dans son ensemble ne constitue pas le programme de la formation sinon il faudrait une vie de conducteur.
L'idée majeure de la reforme est une refonte de la formation en approchant davantage l'aspect comportemental.
La formation à la conduite est issu du
REMC, c'est donc assez libre.
Les centres de formations pourront choisir leurs plans de formation et l'ordre des
compétences à travailler.
Les compétences à acquérir remplacent les
objectifs à atteindre.
Mais une compétence c'est quoi ?
Une compétence est une combinaison de
connaissances, de savoir faire et de
comportements que l’on utilise pour agir
seul en situation.
Au final accéder à l'usage de la route nécessite une démarche éducative exigeante dont
les enjeux en termes de sécurité routière sont de première importance.
Dans le cadre des objectifs de sécurité routière fixés au niveau européen, la France a
obtenu une baisse significative de la mortalité routière. Toutefois, compte tenu du nombre
encore important de victimes sur les routes, l'effort engagé doit être poursuivi, notamment
par le renforcement de l'éducation et l'évolution comportementale.
Les centres de formations pourront agir et suivre le REFERENTIEL sur les grands
enjeux éducatifs qui portent particulièrement sur :
― l'accidentalité des jeunes de 14 à 25 ans.
― l'accidentalité liée à l'usage de deux-roues motorisés.
― la sécurité des usagers vulnérables.
― la lutte contre l'usage de substances psycho-actives associé à la mobilité.
― la poursuite de la baisse des vitesses moyennes enregistrées.
― la mobilité durable et citoyenne.
― le risque routier professionnel.
― le vieillissement de la population.
Je vous conseille de suivre les formations au seins des auto-écoles agrées, de suivre des
cours théoriques afin de bien comprendre les enjeux de la conduite.
Je compléterai par la suite cet article pour une meilleure compréhension de la reforme
REMC