mercredi 5 novembre 2014

PERMIS PAS CHER : TOUTES LES SOLUTIONS POUR REDUIRE LE COUT DE LA FORMATION EN AUTO-ÉCOLE.


L’AAC ou la conduite supervisée




Même si l’apprentissage anticipé de la conduite et la conduite supervisée semblent à première vue plus cher par rapport à une inscription traditionnelle, les taux de réussite, supérieurs à la moyenne, sont gages de plus grande réussite et souvent… de moins de leçons à prendre à la clé.



Une formation complétée par un suivi pédagogique permettra à chacun de s’y retrouver en terme de sécurité sur la route.
Par ailleurs, les économies se ressentent a posteriori sur le coût de l’assurance dont les surprimes jeune conducteur sont réduites et dans certains cas supprimées.



Important également : ces deux formations sont reconnues plus sûres par les sociétés d’assurance qui estiment que les risques d’accident sont moins importants…et moins coûteux pour le conducteur à l’avenir.


La formation en collectif.


La formation collective permet de réduire les coûts en augmentant la durée d'apprentissage !!!! Que du bonus.
En effet partir en conduite par groupe de deux permet une assimilation plus rapide en alternant conduite et observation.
Les équipages partent pour 1H30  en conduisant 45 min chacun, l'un observe l'autre et profite d'une double explication.



samedi 1 novembre 2014

conduite accompagnée à 15 ans c'est possible


Depuis ce samedi 31 octobre 2014, les jeunes de 15 ans peuvent se former au volant en toute légalité, au lieu de 16 ans auparavant. L'objectif est notamment d'obtenir ensuite un meilleur taux de réussite au permis par un apprentissage plus long.

Terminé les formations de papa sur les parkings de supermarché. Les jeunes de 15 ans peuvent, à partir de ce samedi 1er novembre, s’inscrire en auto école dans le cadre de la conduite accompagnée. Les jeunes candidats au permis de conduire qui choisiront cette formule pourront passer le permis plus tôt, dès 17 ans et demi, «afin de pouvoir conduire au premier jour de leur majorité», précise le ministère de l'Intérieur. Le jeune mineur titulaire du permis ne pourra toutefois pas conduire seul avant ses 18 ans, mais cela lui permettra de prendre la route dès le tout premier jour de sa majorité.



L'objectif du ministère de l'Intérieur avec cette réforme est de développer le nombre de jeunes en conduite accompagnée. D'ici à 2017, les autorités aimeraient voir passer de 30 à 50% le nombre de jeunes conducteurs.

«Plus d'expérience au volant, c'est un meilleur taux de réussite»
«Avancer d'un an l'accès à la conduite accompagnée offre aux candidats et à leur (ou leurs) accompagnateur(s) davantage de temps pour organiser les séquences d'apprentissage de la conduite et réaliser les 3000 kilomètres à parcourir», estime le ministère de l'Intérieur. «Les jeunes conducteurs seront ainsi mieux formés, et la sécurité en sera renforcée: grâce à l'apprentissage anticipé de la conduite, l'accidentologie est diminuée de 27% la première année du permis pour les 18-19 ans, et de 25% pour les 20-21 ans».


Améliorer l'expérience de conduite
"Plus d'expérience au volant, c'est également un meilleur taux de réussite au permis de conduire : 73,9 % de succès, contre 55,2 % par la voie traditionnelle", assure le ministère.




En 2013, près de 190. 000 jeunes ont obtenu leur permis de conduire (catégorie B) grâce à l'apprentissage anticipé de la conduite.



lundi 13 octobre 2014

L'EXAMEN DU PERMIS DE CONDUIRE À 32 MINUTES

LES CANDIDATS  GAGNANTS  ???


Depuis le 1er août, l'examen du permis de conduite auto (B) passe de 35 à 32 minutes. 

Destinée à réduire le délai d'attente entre deux examens, cette mesure devra sur ce point encore faire ses preuves, en revanche le candidat profite déjà d'un examen un peu moins stressant, en évitant la réalisation d'une seule manœuvre contre les deux demandées auparavant.


Apres de grosses réflexions par le Ministère de l'intérieur, l'examen du permis de conduite est donc allégé de 3 minutes depuis le premier août 2014. Restait à savoir ce qui allait passer à la trappe et c'est la réalisation d'une manœuvre !!!!

Jusqu'à maintenant, le candidat devait réaliser deux des six manœuvres suivantes : 

  • Marche arrière en ligne droite
  • Marche arrière en courbe
  • Demi-tour en 3 temps
  • Créneau droit ou gauche
  • Rangement en épi
  • Rangement en bataille

Depuis le 1er août, la réalisation d'une seule de ses manœuvres est demandée par l'inspecteur, il y a donc une manœuvre en moins et quand on connaît le niveau de stress et donc le risque d'erreur des candidats pour leurs réalisations, c'est une excellente chose. Dans le même temps, le Ministère de l'Intérieur précise que le « freinage pour s'arrêter avec précision » fait désormais parti intégrante de l'examen du permis B.


Comme le précise la DSCR dans ses notes de service : « dès lors que le candidat aura effectué un arrêt à un stop ou à un feu rouge, l'IPCSR (l'inspecteur) pourra le prendre en compte pour l'évaluation de la manœuvre freinage pour s'arrêter avec précision ». 

Pour les puristes, la DSCR précise : Deux moyens peuvent être utilisés par l'IPCSR (inspecteurs) pour effectuer son évaluation : 

1- évaluation du freinage pour s'arrêter avec précision à l'occasion d’un arrêt imposé par la signalisation. L’annonce est effectuée soit : - lors de la présentation de l’épreuve - soit en cours de parcours Le résultat sera satisfaisant dès lors que le candidat aura su ralentir progressivement avant l'arrêt et immobiliser le véhicule d’examen dans le respect de la réglementation. 

2 - évaluation du freinage pour s'arrêter avec précision en utilisant un repère vertical (comme la procédure actuelle). 

Enfin, l'évaluation de la compétence transversale « conduite autonome » sera ainsi faite : 

bon = 1 point 
moyen = 0,5 point 
insuffisant = 0 point. 

Ce qu'il faut retenir c'est un examen plus court et un peu plus facile et moins stressant pour les élèves.

Attention tout de même d'écouter les consignes qui vous serons demandées.


dimanche 12 octobre 2014

lundi 4 août 2014

Reforme du permis : durée de l'examen

Réforme du permis de conduire : à partir du 1er août, le nombre d'examens quotidien par inspecteur du permis de conduire augmente

31 juillet 2014 

Lancée par Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur, le 13 juin dernier, la réforme du permis de conduire est en marche. Pour ramener d'ici à deux ans le délai moyen d'attente d'une place d'examen après un échec au permis B de 98 en 2013 à 45 jours, des mesures concrètes sont mises en application dès cet été.


À partir du 1er août, la durée de l'épreuve pratique du permis B est raccourcie, passant de 35 à 32 minutes. Ainsi, l'arrêt dit « de précision », qui consiste pour un candidat à marquer l'arrêt complet de son véhicule devant un stop ou un feu rouge, sera évalué à la place d'une des deux manœuvres prévues jusqu'alors. Cet assouplissement permet un gain de temps sans remettre en cause le niveau d'exigence pour l'obtention de l'examen.



L'examinateur pourra donc faire passer 13 examens par jour au lieu de 12 aujourd'hui, ce qui représente potentiellement sur une année 117 500 places d'examen B supplémentaires.

Attention que certains départements profite de la place supplémentaire pour les délais de route des experts (restriction budgétaire). Le VAR retrouve son taux normal grâce à cet aménagement, mais il reste les mois de retards à rattraper.

Toujours dans le but de réduire les délais d'attente en concentrant le travail des inspecteurs là où ils sont les plus demandés, le passage des épreuves du code de la route peut, depuis le 1er juillet, être confié à d'autres agents publics que les inspecteurs.




Ce recentrage des inspecteurs sur le cœur de leur mission de service public permet de répondre au principal besoin des candidats, et notamment des jeunes, qui doivent pouvoir, après un premier échec, repasser le permis dans des délais raisonnables, sans multiplier les heures de conduite supplémentaires qui représentent un surcoût important, attention tout de même de se former corectement pour ne passer l'épreuve qu'une seule fois.

samedi 19 juillet 2014

RÉFÉRENTIEL POUR L’ÉDUCATION À UNE MOBILITÉ CITOYENNE

L'arrêté du 23 janvier 1989 relatif au programme national de formation à la conduite est 
abrogé.

Exit le PNF, que nous connaissons depuis 1989. Le REMC devient le référentiel pour la réalisation des programmes et des cours liés à l’éducation et la sécurité routières.



4 compétences :
   Assumer personnellement ses responsabilités citoyennes, juridiques et sociales
   Utiliser un véhicule à moteur rationnellement et en sécurité
   Préparer ses trajets et conduire le véhicule de façon autonome dans les situations de circulation simples ou complexes
   Prendre en compte les facteurs entraînant une dégradation du système homme-véhicule-environnement, prendre les décisions qui permettent d’y faire face, mettre en oeuvre les mesures préventives.

Chacune de ces compétences apporte des "sous-compétences" ; Ce ne sont pas des "objectifs" de formation, même si la pédagogie à l’aide des objectifs restera complémentaire de l’enseignement à visé de compétences.
La matrice GDE est prise en compte pour l’acquisition de ces compétences.

Nous reviendrons sur le REMC afin d’en détailler les éléments.

Nous y voila, depuis le 1er juillet 2014 le REMC est en vigueur.

Pour faire simple le REMC dans son ensemble ne constitue pas le programme de la formation sinon il faudrait une vie de conducteur.

L'idée majeure de la reforme est une refonte de la formation en approchant davantage l'aspect comportemental.


La formation à la conduite est issu du REMC, c'est donc assez libre.

Les centres de formations pourront choisir leurs plans de formation et l'ordre des
compétences à travailler.

Les compétences à acquérir remplacent les objectifs à atteindre.



Mais une compétence c'est quoi ?
Une compétence est une combinaison de connaissances, de savoir faire et de
comportements que l’on utilise pour agir seul en situation.

Au final  accéder à l'usage de la route nécessite une démarche éducative exigeante dont
les enjeux en termes de sécurité routière sont de première importance.

Dans le cadre des objectifs de sécurité routière fixés au niveau européen, la France a
obtenu une baisse significative de la mortalité routière. Toutefois, compte tenu du nombre
encore important de victimes sur les routes, l'effort engagé doit être poursuivi, notamment
par le renforcement de l'éducation et l'évolution comportementale.
Les centres de formations pourront agir et suivre le REFERENTIEL sur les grands 
enjeux éducatifs qui portent particulièrement sur :

― l'accidentalité des jeunes de 14 à 25 ans.
― l'accidentalité liée à l'usage de deux-roues motorisés.
― la sécurité des usagers vulnérables.
― la lutte contre l'usage de substances psycho-actives associé à la mobilité.
― la poursuite de la baisse des vitesses moyennes enregistrées.
― la mobilité durable et citoyenne.
― le risque routier professionnel.
― le vieillissement de la population.

Je vous conseille de suivre les formations au seins des auto-écoles agrées, de suivre des
cours théoriques afin de bien comprendre les enjeux de la conduite.

Je compléterai par la suite cet article pour une meilleure compréhension de la reforme
REMC